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Sous le soleil de Costa Del Sol

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Lun 27 Aoû - 21:43
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Sous le soleil de Costa Del SolLes fans de soleil
Dans cet étrange monde qui m’est complètement inconnu, à travers mon errance, j’ai trouvé un étrange phénomène qui m’a intriguée. C’est comme si la réalité était devenue une bulle de verre trouble, et intriguée j’ai tendu la main. Je ne vous raconte pas ma surprise quand je l’ai vue disparaître dans ce que je ne peux qu’expliquer être un portail. Je sentais une bienfaitrice chaleur de l’autre côté, doux, chaud… et je suis traversée sur un coup de tête. J’étais curieuse et j’avais envie de voir ce qu’il y avait de l’autre côté. De toute manière, je suis perdue, alors… peut-on être encore plus perdue que ma situation ?

Un ciel bleu et le bruit des oiseaux de mer m’accueille, un soleil radieux, une chaleur qui réchauffe ma peau, une toute petite brise marine… Je découvre une plage au magnifique sable blanc parsemée de jolis parasols blancs et bleus, des chaises longues pour lézarder au soleil, des habitations et installations pour accueillir le touriste ayant envie de profiter de cet endroit paradisiaque. Mais qu’est-ce que j’attends ?

Après avoir fouillé dans les poches de ma robe et de ma courte veste, j’ai trouvé suffisamment de gils pour m’approprier des vêtements beaucoup plus adaptés à ce climat généreux. J’ai déniché un joli petit bikini jaune -vous pensiez rose ??? non mais je le répète je ne suis pas tant que ça fan du rose !- une serviette de plage d’un joli vert pomme et un large chapeau de soleil en paille agrémenté d’un foulard blanc, sans oublier une paire de lunettes fumées et des flip-flops jaunes au cas où le sol serait brûlant. En fait un bikini… j’ai plus l’impression que c’est une petite serviette de table coupée en trois qu’on m’a vendu vu la taille du truc… mais il paraît que c’est la dernière mode, que ça me va à ravir… et tant que ça couvre le principal au fond…

Un sac de toile offert par la boutique pour que j’y mette mes vêtements ordinaires sur l’épaule, ma serviette sous le bras, je me dirige vers la plage sans pouvoir me retenir de sourire. Je me sens bien à cet endroit, j’ai la vague impression d’y être déjà venue… mais je n’arrive pas à me souvenir. Peut-être que la mémoire me reviendra plus tard, aussi bien profiter de l’endroit !

J’installe ma serviette et mes effets sous un des parasols libres… et j’hésite. Le court de volley-ball ? Aller nager ? Ce stand de glaces parfumées qui donne l’eau à la bouche ? Je fais quelques pas timides dans le sable, et j’attrape le ballon blanc qui ne semble qu’attendre de regrouper des gens autour du filet tendu. Je jette un regard à la ronde pour voir si des gens seraient peut-être intéressés… et dans le pire des cas je vais simplement m’amuser à faire quelques touches dans les airs, bouger un peu me fait sentir vibrante et vivante comme jamais !
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Mar 28 Aoû - 23:28
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Sous le soleil de Costa Del Sol
Le Sillage était, pour le moment, la seule chose qui préoccupait Fran. Elle qui avait mis tant d'années avant de pouvoir s'offrir un bijou de technologie comme celui-ci, jamais elle ne renoncerait à retrouver son vaisseau. Marchant dans le dessert depuis plusieurs heures, elle finit par trouver un étrange phénomène, qui à son approche laissa entrevoir une mer de sable fin, ressemblant étrangement à la rive côtière ou s'était amarrée la pirate du ciel avant d'arriver sur ces terres arides et sans vie. Serait-ce Ivalice ? Bien qu'elle espérait que la réponse soit favorable, quelque chose au fond d'elle lui intima de ne pas se laisser bercer par des illusions aussi futiles. Chassant ces idées, elle s'enfonça dans le portail. Une sensation de flottement et de bien être l'enveloppa, elle crut entendre de nouveau cette voix lui murmurer son nom, et en un instant elle fut transportée dans ce nouveau monde.

Il faisait chaud, pas aussi chaud que sur les terres d'Ivalice, mais cela s'en rapprochait. Il ne lui fallut qu'un coup d’œil pour comprendre qu'elle en était bien loin, ce monde n'était pas sa terre natale. Les habitations étaient étranges, plus simplistes dans leurs constructions, plus pittoresques, ce qui donnait un certain charme. Passant son arc par dessus son épaule, Fran décida d'inspecter les lieux, avec un peu de chance elle pourrait obtenir des informations sur cet endroit et comment en sortir.

Les quelques gens que la pirate du ciel rencontra se contentèrent de la fixer, elle avait l'habitude des regards insistants de la part des Humes. Les Vieras, étaient des créatures qui inspiraient le mystère et la fascination par beaucoup. Il était assez fréquent pour Fran de se faire dévisager, et cela ne la dérangeait pas, mais ces Humes étaient presque choqués de voir une telle créature dans leurs rues, à croire qu'ils n'avaient jamais vu de Viera.

Les pas de Fran la menèrent sur une plage, ce n'était pas son monde, et pourtant elle se sentit étrangement bien, un brin nostalgique, elle se perdit dans ses pensées un instant tout en fixant l'horizon. Elle s'approcha de l'eau, jusqu’à même y faire tremper ses pieds tandis que les vagues venait s’écraser contre ses mollets, le vent marin faisant virevolter ses cheveux blancs. Des cris d'excitations la fit se retourner, alors que non loin des gens s'amusaient à taper dans une sorte de balle pour la faire passer par dessus un filet, un rituel étrange que Fran regarda de loin, elle croisa alors quelques regards – dont la plupart se détournaient au contact du sien.

Elle soupira longuement avant d'ajouter à elle même. « - Quel monde étrange. »
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Ven 7 Sep - 18:13
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Gladiolus Amicitia.

Sous le soleil de Costa Del Sol.
Sa venue n'avait pas été une erreur, mais un choix. Un appel à l'aide, une voix qui lui était parvenue – il n'avait pas hésité une seule seconde. Qui aurait bien pu hésiter ? Une personne qui tient bien plus à sa propre vie qu'à celles de ses frères et sœurs, de ses pères et mères, de ses amis et camarades, de ses amours et rêveries ?

Gladiolus Amicitia.

Un nom qui résonne dans la roche, un lourd murmure qui transperce votre corps, et un cœur bien plus grand que ses larges épaules. Le courage, la force, la bienveillance peuvent forger un homme – homme qui peut surpasser les autres hommes. Un homme inscrit dans chaque mémoire, un héros qui protège votre destinée, qui vous remonte le moral, qui vous transmet sa force, vous donne du courage, et vous aide à surpasser vos limites.

Ce nom tatoué sur les cœurs allait de nouveau entrer dans l'histoire.

Pas en tant que simple humain.
Pas en tant que simple membre de la garde royale.
Pas en tant que bouclier du roi élu par le cristal.
Mais en tant que ferveur protecteur de Materia.

Il protégerait sa cause, coûte que coûte, et donnerait sa vie, s'il le fallait.

Ses yeux s'ouvrent sur un nouveau monde, un monde différent du sien. Un étranger – voilà ce qu'il était maintenant. Un simple voyageur perdu dans un monde qui lui est inconnu, qui n'est pas sien – un monde dans lequel il devra se battre, corps et âme, un nouveau monde pour lequel il pourrait donner de sa vie. Une légende qui se retrouve dans une boucle sans fin, celle du combat ; boucle éternelle qui loge dans sa liste de passions, un moment où il prendra plaisir, dans la facilité comme la difficulté, dans la victoire ou la défaite.

Oubliez la défaite.
Il a la rage de vaincre.


Ses pas lents – bien que sûr – le dirigent vers de nouvelles contrées, des bâtiments étranges à perte de vue,  les murmures des habitants, quelques regards puis un silence. Leurs pas changent de route comme un imprévu qui ne pouvait être contourné, Gladiolus était sur la piste – homme assez grand, horriblement taillé dans la pierre, tatoué d'un aigle majestueux sur le corps, la mâchoire carrée et des cicatrices sur son visage. Chemin libéré, l'absence de passants lui permet de réfléchir à sa destination nouvelle. Où devait-il aller ? Où était-il ? Allait-il marcher des heures, en vain ?

Défaitiste ?

Impossible de le qualifier avec cet adjectif. Un problème ne restait jamais sans solution. Dans ce moment précis, Gladio aurait aimé sentir la présence de son frère d'arme, Ignis, tête pensante et stratégique d'un petit groupe composé de personnes tout aussi différentes les unes des autres. Le bouclier fonce. Le cuisinier réfléchit. Un duo qui semblait déjà lui manquer.

« Hm.. » soupirait le tatoué en observant les horizons. Songeur, il se reprend. « Que dirait Ignis.. ? »

Dans sa voix se trouvait l'hésitation mêlé à une réflexion interne qui semblait brûler chaque parcelle de sa peau – se mettre à la place d'un grand stratège, une tâche nullement facile pour un homme qui préfère agir par la force. Et pourtant, lorsque son regard ambre croise une volée de mouette, il ne pu s'empêcher de s'exclamer.

« Les poissons. Un port, une plage ? »

Un soupir quitte la barrière de ses lèvres à ses dires, laissant un sourire se dessiner sur ses lippes fermes lorsqu'il reprend avec hâte sa marche en longeant les larges côtes de ce – nouveau monde –, à la recherche d'informations sur sa quête légendaire et périlleuse, un moyen d'avancer de vive voix et d'agir plutôt qu'attendre des instructions en fredonnant joyeusement.

Que pouvait-il dire face à la vue qu'il s’apprêtait à voir ? Paradisiaque. Une baie de Galdina sur un autre monde, peuplée d'un autre peuple, d'un autre avenir. Ce soleil brûlant, ces sourires chauds, ces peaux dévêtues et cette vue à couper le souffle – impossible de ne pas reconnaître la joie et la paix, un instant qui redonne de l'espoir, du courage et de la force, quant à un avenir proche sur Eos qui pourrait être ainsi. Il enviait, à ce moment précis, ce nouveau monde, cette joie, cette beauté sans pareille.

Il se le jurait – se battre pour conserver le bonheur de ce monde, et apporter un renouveau dans le sien. Se battre pour deux mondes distincts, sauver une nouvelle fois l'humanité, et des milliers de vies. Une satisfaction et une joie qui n'avaient aucun prix.

« Finalement, je n'ai rien contre une petite balade de santé ! »

Moment de faiblesse, moment de réconfort peut-être ? Gladiolus s'approchait peu à peu de la plage qui frôlait le paradis, se déchaussant pour profiter du sable fin contre sa peau fatiguée de sa marche, tout en faisant disparaître son épée à deux mains – le laissant enfin libre de ses mouvements alors qu'il s'éloigne vers l'eau d'un bleu azur si brillant qu'il en devint bien trop intrigué pour y glisser un pied.

« J'aurai tellement aimé que vous soyez là. » Des mots à peine murmurés à lui-même, une nostalgie qui devient un manque après quelques heures, l'envie de victoire ne pouvait pas être plus grande, et ce, pour les deux partis. Eos, et ces nouvelles terres inconnues.

Dans ses pensées, Gladio se voit être interrompu lorsque le bruit d'un ballon contre les paumes d'une main parvient jusqu'à ses oreilles. Un sport praticable ? Impossible pour lui de rater une occasion d'entraîner son corps, dépenser son énergie tout en s'amusant. Une course sur le sable ? Peut-être. Un volley-ball ? Assurément que oui.

« Yosh. C'est parti. » prononçait l'homme à la barbe taillée lorsqu'il dépose sa paire de chaussures non loin d'un des poteaux, avant de faire signe à la demoiselle au ballon qui semblait chercher un partenaire de l'autre côté du filet. « Envoies. »
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Jeu 13 Sep - 14:19
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Sous le soleil de Costa Del Sol.
Ft : Luna, Aerith et Gladio.
Écartant les bras de façon complétement exagéré, tu as l'air durant plusieurs secondes d'un zouave en train de remercier un dieu. Tu respires à plein poumon l'odeur marin, tu embrasses de ton regard pétillant les individus déjà présents, tout particulièrement les filles. Que venais-tu donc de trouver d'aussi "merveilleux" de l'autre coté de ce portail ? Ni plus ni moins qu'un petit coin de paradis bien sur ! Mais oui : du sable, des paraboles parasols, des filles en maillot de bain !

Après quelques errances par ci par là ces quelques derniers jours, un nouveau portail s'était heureusement ouvert, celui-ci même que tu viens de franchir. Avec sa promesse de nouveau lieu à découvrir, tu n'avais pas hésité bien longtemps, impatient de venir voir de tes propres yeux ce qui se cachait derrière l'un de ses bien mystérieux portails passe-mondes.

Est ce que ça allait être une autre splendide ville comme Altissia ? Ou bien, allais-tu tomber sur Spira, ton monde ? Même si cela te faisait plaisir de retourner à ton monde Spira, tu étais surtout curieux découvrir des mondes dont tu n'appartenais pas. Dernièrement, celui d'Eos d'où venait Ardyn t'avait frappé dans l’œil. Tu avais également entendu parlé de Gaia, le monde d'où venait ce cher Sephiroth.

Trois heures plus tard, tu avais fait le tour, tu avais gambadé partout, tu avais fait des séduisantes rencontres, tu avais appris à des jeunes les règles du blitzball, tu avais dépensé tous tes gils pour l'achat d'une serviette de bain (que tu portais désormais sur ton épaule) et de deux bijoux qui t’avaient tapés dans l’œil. Pour dire la vérité, il ne te restait plus que 2 gils... deux piécettes sans aucune valeur...

De retour sur la plage, tu scrutes les individus profitant du soleil. Tu hésites sur les choix qui s'offrent à toi. La vue d'un ballon blanc entre les mains d'une jeune demoiselle au bikini jaune t’attire comme un aimant, car comme toujours : une petite partie de volley ball, en regroupant des gens intéressés, c'était toujours un bon divertissement ! Mais il y avait peut être mieux, comme par exemple aller se rapprocher discrètement et en tout innocence de cette magnifique silhouette sexy fascinante appartenant à une grande dame lapine aux longs cheveux blancs ondulés...  tu  étais à deux doigts de gémir ton plaisir à la vue de ses talons aiguilles.

Tandis que tu hésites et que le temps passe, à peine cinq minutes en réalité, la jeune fille se trouve un partenaire, en effet rejointe par un grand brun barbu, visiblement motivé à échanger quelques passes avec elle. Cela est une bonne nouvelle, te voilà même en train de sourire comme un parfait petit coquin. Ton choix est décidé, tu te rapproches de la grande Lady Lapine, pour lui proposer une partie de volley ball bien sur...

Hmm, prions qu'il n'y est pas de barrière de la langue ? A moins que... pourquoi pas ? Cela pourrait être intéressant (a)

coded by blair of shine & ooc
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Dim 16 Sep - 19:22
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Sous le soleil de Costa Del SolLes fans de soleil
Mes yeux se posent sur une femme carrément éblouissante. Je ne sais pas ce qui m’hypnotise le plus entre sa démarche d’une grâce aérienne, sa peau mate qui semble être aussi douce que du satin, ses cheveux de neige d’apparence si soyeuse ou ces longues oreilles qui font penser à celles d’un lapin. Je dois avoir l’air d’une belle idiote en ce moment, le ballon entre les mains, la bouche entrouverte et des étoiles dans les yeux, à la regarder. Comme elle est belle ! Je n’ai jamais vu quelqu’un comme elle avant, ça j’en ai la certitude. Non seulement elle est belle mais elle semble en plus badass vu l’arc et les flèches qu’elle traîne sur son épaule. J’ai envie d’aller vers elle et la saluer, me renseigner sur elle et découvrir son prénom mais j’hésite. Elle semble aussi belle que distante. Et si je faisais une gaffe et l’embêtait plus qu’autre chose ?

Perplexe je tapote le ballon entre mes mains quand le destin décide pour moi de ce qu’il est mieux de faire. J’entends une voix masculine m’interpeller et je me retourne aussitôt en sa direction avec un large sourire rayonnant… qui est loin de se tarir quand mes yeux tombent sur ce dieu grec. Woah. Quelle bonne idée que cette partie de volley-ball !

En quelques petits sauts je prends position de mon côté du filet et j’envoie le ballon dans les airs avant de le frapper pour le lui envoyer. Je n’ai pas l’intention de lui rendre ça facile, mais rien qu’à voir la circonférence des biceps de ce type, je sais déjà qu’il va me foutre une râclée, mais je suis bonne perdante et j’aime avant tout m’amuser. Je ris et applaudit à ses bons coups, et ne peut retenir de lui lancer un regard malicieux par-dessus mes lunettes de soleil quand j’arrive à le déjouer (c’est rare mais ça arrive, d’accord ?)

Après m’être affalée de tout mon long dans le sable pour essayer en vain de rattraper le ballon avant qu’il ne touche sol, je me relève en riant et en époussetant le sable qui colle légèrement à ma peau, et je regarde mon partenaire. J’ai besoin de souffler un peu et j’ai bien envie de faire connaissance un peu.

Vous devez mourir de chaleur avec ce soleil et à me donner autant de fil à retordre ! Vous devriez enlever quelques épaisseurs. J’ai laissé mes choses sous ce parasol, vous n’avez qu’à déposer vos effets à avec.

Quoi ? Comment je veux le voir torse nu ? Mais bien sûr que je veux le voir torse nu non mais vous me prenez pour qui pour lasser passer une telle opportunité ? Et puis c’est pour le bien public, les autres filles présentes pourront en profiter également ! Je me dévoue, au fond. Bon allez, je ne trompe personne mais j’affiche tout de même mon sourire le plus ravissant. D’ailleurs je regagne ma chaise et le parasol où sont mes affaires au petit trot pour y déposer mon chapeau qui est plus encombrant qu’autre chose pour le volley-ball. Je le coince sous mon sac pour éviter qu’il s’envole au vent mais je récupère le foulard blanc qui le décore pour m’en servir à nouer plus solidement mes cheveux. Je récupère l’ensemble de ma longue tignasse, même ces mèches qui tombent sur mes épaules, pour en faire une queue de cheval haute que je retiens de quelques tours de ce foulard blanc. Et voilà, me voilà plus apte au combat pour scorer des points contre ce beau mec !

Avant de retourner sur le terrain de jeu je jette un œil en direction de la belle femme vue tout à l’heure. Je vois qu’elle est en compagnie d’un homme qui semble tout à fait dans son élément sur cette plage. Je lui envie cette peau embrassée par le soleil… il me fait penser à quelqu’un… je ne sais pas, ces cheveux noirs et ce bandana rouge… Je secoue la tête, incapable de me souvenir. Ce n’est pas grave, ça me reviendra bien ! Avec un nouveau sourire, je regarde où en est mon dieu grec partenaire de volley-ball et je lui lance :

Le perdant paie une glace à l’autre, d’accord ?

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